Quand les données de biologie ne sont qu'un départ

De la caractérisation des résistances à l'épidémiologie, de la simple alerte à l'aide à la décision, les données du biologiste sont un point de départ à de nombreuses actions médicales ou économiques. Des outils, de plus en plus poussés, intègrent ces données dans des ensembles plus vastes pour mettre en place un pilotage qui repose sur elles. La France s'y met. Timidement.

Par Sophie HOGUIN, publié le 23 mai 2024

Quand les données de biologie ne sont qu’un départ
« La surveillance des antibiorésistances, et l'épidémioMydilogie qui va avec, ne date pas d'hier ! » s'exclame Wendy van der Linden, responsable marketing microbiologie chez BYG4lab quand on l'interroge sur les solutions informatiques permettant d'exploiter ces données qui existent. « En Europe francophone, Info Partner, que BYG Informatique a acheté il y a maintenant 4 ans, possédait le logiciel Infectio, dont la première version est sortie il y a plus de 25 ans. C'était l'un des pionniers de la gestion numérique des données de l'antibiorésistance, de l'épidémiologie et de l'hygiène, poursuit-elle. Nous l'avons redéveloppé et modernisé sur notre socle technique YLine pour en faire Ynfectio. » Du microbiologiste aux autres praticiens L'utilisation des données d'antibiorésistance récoltées au laboratoire d'analyse médicale sur la paillasse de microbiologie suit, encore...

Ce contenu est réservé aux abonnés de la revue Biologiste Infos

S'abonner pour lire la suite